đ Paroles Il Faut Que Je M En Aille
Vouspouvez aller poster sur ce sujet pour y mettre vos suggestions ou idĂ©es pour faire remonter le forum, et tout ce qui vous passe par la tĂȘte. Ensemble, faisons bouger les choses ! Nous avons une nouvelle Staffienne, Ombre d'Argent! Elle est de retour dans le Staff en tant que Modette, alors c'est super ! Le deal Ă ne pas rater : Cartes PokĂ©mon :
Avant de quitter ses disciples et de rejoindre le PĂšre, JĂ©sus leur dĂ©clare quâil vaut mieux pour eux quâil sâen aille, afin que lâEsprit Saint vienne habiter en eux. Comment comprendre et accueillir ce don extraordinaire de Dieu dans nos vies et notre quotidien ?LâEvangile de Jean fait une grande place aux paroles de JĂ©sus. Parmi elles, il y a cette Ă©tonnante dĂ©claration du Christ Ă ses disciples Il vaut mieux pour vous que je mâen aille » Jn 16,7. Et il explique En effet, si je ne mâen vais pas, le DĂ©fenseur ne viendra pas vers vous, mais si je mâen vais, je vous lâenverrai ».Cette parole est prononcĂ©e suite au repas de la CĂšne le Jeudi Saint, lorsque JĂ©sus et ses disciples se mettent en route vers le jardin de GethsĂ©mani Jn 14,31 ; 18,1. La conversation entamĂ©e lors du repas se poursuit sur le chemin. Il ne reste plus beaucoup de temps Ă JĂ©sus pour avertir une Ă©niĂšme fois ses disciples de sa mort imminente, de son ascension vers le PĂšre Jn 14,12, mais aussi de la venue du Consolateur, lâEsprit de vĂ©ritĂ© qui vient du PĂšre et rendra tĂ©moignage de moi » Jn 15,26.JĂ©sus lâa en effet dĂ©clarĂ© Ă ses disciples, et donc Ă nous aussi il est vĂ©ritablement avec nous jusquâĂ la fin du monde » Mt 28,20. Il a promis quâil ne nous dĂ©laisserait pas et ne nous abandonnerait pas Hb 13,5.Avant sa mort, JĂ©sus annonce donc aux disciples non seulement sa RĂ©surrection que nous fĂȘtons Ă PĂąques, mais aussi son Ascension vers le PĂšre puis la PentecĂŽte, câest-Ă -dire lâenvoi du Saint-Esprit par le PĂšre au nom de JĂ©sus, afin de nous soutenir, de nous fortifier, de nous consoler et de nous conseiller dans toutes nos actions quotidiennes. Il vaut mieux pour vous que je mâen aille »⊠Ainsi, si nous prenons JĂ©sus au mot, la prĂ©sence de lâEsprit Saint en nous serait prĂ©fĂ©rable Ă sa prĂ©sence Ă nos fruits de lâEsprit Saint en nousDans son ouvrage Il vaut mieux pour vous que je mâen aille lâEsprit en nous » Editions La Maison de la Bible, 2021, lâauteur chrĂ©tien nous incite Ă nous interroger sur notre foi et sur notre relation personnelle Ă Dieu La foi en Christ est-elle pour moi un ensemble de croyances auxquelles jâadhĂšre et un mode de vie auquel je me conforme, ou est-elle une relation vivante qui me conduit Ă marcher par lâEsprit en Ă©tant accompagnĂ©e de sa puissance ? »Si lâEsprit Saint est prĂ©sent en nous, si nous ne lui fermons pas la porte de notre cĆur, alors il peut vraiment porter des fruits en nous. Quels sont ces fruits ? Nous pouvons en relever trois premier fruit est quâen nous rappelant tout ce que JĂ©sus nous a dit Jn 14,26, le Saint Esprit rend la Parole de Dieu vivante en nous, dans notre propre vie. Autrement dit, la Parole nous parle personnellement pour nous Ă©clairer dans chaque situation que nous rencontrons au quotidien. Le deuxiĂšme fruit de la prĂ©sence de lâEsprit en nous est une meilleure connaissance » de lâamour du Christ pour nous et tous les hommes. Avec les saints, pour reprendre les mots de lâapĂŽtre Paul, nous sommes mieux Ă mĂȘme de comprendre quelle est la largeur, la longueur, la profondeur et la hauteur de lâamour de Christ » Ep 3,18. Paul recourt au terme ginosko » en grec ÎłÎčΜÏÎș qui dĂ©signe une connaissance assimilĂ©e par lâexpĂ©rience. De fait, en expĂ©rimentant lâamour de Dieu en nous, nous faisons une rencontre intime, personnelle, vivante avec Dieu, au plus profond de notre cĆur. Le troisiĂšme fruit, si nous laissons lâEsprit Saint vivre et Ćuvrer en nous, nâest pas le moindre celui de devenir tĂ©moin » de JĂ©sus-Christ et de la Bonne Nouvelle, Ă JĂ©rusalem, dans toute la JudĂ©e, dans la Samarie et jusquâaux extrĂ©mitĂ©s de la terre » Ac I,8. MĂȘme si nous restons toute notre vie dans le mĂȘme village ou comme Ste ThĂ©rĂšse de Lisieux dans un couvent de religieuses cloĂźtrĂ©es, le Saint Esprit porte notre tĂ©moignage jusquâaux extrĂ©mitĂ©s de la terre ».La prĂ©sence de lâEsprit Saint en nous est un don extraordinaire, mais Dieu respecte notre libertĂ©. Câest pourquoi il nous faut le demander ».Câest Ă la lumiĂšre de ces trois fruits que nous pouvons comprendre une autre parole Ă©tonnante du Christ, dans lâEvangile de Matthieu 11,11 Je vous le dis en vĂ©ritĂ©, parmi ceux qui sont nĂ©s de femmes, il nâest venu personne de plus grand que Jean-Baptiste. Cependant, le plus petit dans le royaume des cieux est plus grand que lui. » Jean-Baptiste Ă©tant, selon JĂ©sus, le plus grand prophĂšte qui ait jamais existĂ©, comment donc pouvons-nous ĂȘtre plus grands que lui ? Câest justement, comme le souligne lâauteur parce que lâEsprit de Dieu demeure en permanence dans notre cĆur si seulement nous ne le chassons pas, ce que Jean nâa jamais connu sur la terre. » Mais ces fruits de lâEsprit sont-ils pour autant des grĂąces automatiques » dĂšs lors que nous avons reçu le sacrement du baptĂȘme ? Demander lâEsprit au PĂšreDans lâEvangile de Luc 11,13, JĂ©sus enseigne que si nous, mauvais que nous sommes, savons donner de bonnes choses Ă nos enfants, le PĂšre cĂ©leste donnera dâautant plus volontiers le Saint-Esprit Ă ceux qui le lui demandent ». Ainsi, Dieu le PĂšre se rĂ©jouit dâaccorder le Saint-Esprit Ă tous ceux qui le lui demandent. Mais que signifie demander lâEsprit » et pourquoi est-il nĂ©cessaire de le demander » ?Les premiers chrĂ©tiens nous Ă©clairent Ă ce sujet. Dans les Actes des ApĂŽtres, nous les voyons rĂ©unis dans une maison, ensemble Ă prier, autour de la Vierge Marie. Que font-ils ? Nous savons quâils persĂ©vĂ©raient dans la priĂšre Ac I,14. Le pasteur Greear le rĂ©sume avec intensitĂ© en ces termes Ils ont priĂ©, lâendroit oĂč ils Ă©taient a tremblĂ©, et ils ont Ă©tĂ© remplis de lâEsprit, puis ils ont bouleversĂ© le monde ». La prĂ©sence de lâEsprit Saint en nous est un don extraordinaire, mais Dieu respecte notre libertĂ©. Câest pourquoi il nous faut le demander » en reconnaissant notre dĂ©nuement spirituel et notre immense besoin, en tant quâenfants de Dieu, de le recevoir. Lâenjeu est notre propre sanctification, et Ă travers elle, un tĂ©moignage puissant pour rĂ©pandre la Bonne Nouvelle jusquâaux extrĂ©mitĂ©s de la terre ». AliĂ©nor Strentz est docteur en ethnologie, formatrice pour adultes, et fondatrice du blog ChrĂ©tiens heureux .
Trouvezles paroles de Il Faut Que Je M'En Aille par Graeme Allwright, et cherchez Graeme Allwright. Ăcoutez en ligne et obtenez de
Graeme Allwright est dĂ©cĂ©dĂ© ce dimanche 16 fĂ©vrier Ă lâĂąge de 93 ans. Tout un pan de mon enfance qui sâen va⊠mais ses chansons restent Graeme Allwright en 1978 © Panopteric / Wikipedia Commons âDans la bagnole de mon pĂšreâDeux albums magistrauxSon talent pour les traductions et adaptationsUn humaniste convaincu, et un poĂšte âDans la bagnole de mon pĂšreâ Ce titre de Gauvain Sers Ă©voque les trajets en voiture sur la route des vacances, Ă Ă©couter des chansons en famille. Je mâ y retrouve complĂštement, et sâil y a un chanteur quâon a Ă©coutĂ© en boucle avec mes frĂšres et mes parents, câest bien Graeme Allwright. Je revois encore la cassette bleue âVolume 2â avec tous ses tubes SacrĂ©e bouteille, EmmĂšne-moi, Ăa je ne lâai jamais vu quâest-ce quâon a pu rire avec mon frĂšre, Demain sera bien, Let it be que je dĂ©couvrais avant mĂȘme de connaitre les Beatles⊠et surtout Il faut que je mâen aille Compilation sortie en 1975 Cette chanson qui clĂŽturait la fameuse cassette, il nâĂ©tait pas rare quâon lâentonne Ă tue-tĂȘte dans la voiture, et on ne compte plus le nombre de fois oĂč elle a Ă©tĂ© reprise en chĆur lors de rĂ©unions familiales, mĂȘme encore rĂ©cemment pour les 80 ans de mes parents⊠Câest dâailleurs mon pĂšre qui nous avait expliquĂ© la signification de lâavant-dernier couplet de la chanson Jâ tâai racontĂ© mon mariage, Ă la mairie dâun petit villageJe rigolais dans mon plastronQuand le maire essayait de prononcer mon nom Le village en question est RochetaillĂ©e, tout Ă cĂŽtĂ© de Saint-Etienne, car Graeme Allwright avait Ă©pousĂ© la fille de Jean DastĂ©, le fondateur de la ComĂ©die de Saint-Etienne, et Acteur dans, entre autres, le film mythique LâAtalante, de Jean Vigo 1934. SĂ»r que pour un stĂ©phanois, la prononciation du nom du chanteur dâorigine NĂ©o-ZĂ©landaise devait ĂȘtre quelque peu ardue ! Et en tant que stĂ©phanois justement, je ne suis pas peu fier que Graeme Allwright parle du village de RochetaillĂ©e, mĂȘme sans le citer, dans sa chanson sans doute la plus connue, reprise dâinnombrables fois en colo autour du feu de camp ! Deux albums magistraux Les colos, câĂ©tait effectivement un cadre oĂč on chantait beaucoup du Graeme Allwright, tout comme du Jacky Galou, du Maxime Leforestier, du Steve Waring deux artistes avec qui il a jouĂ© sur scĂšne, et enregistrĂ© des live, ou mĂȘme du Renaud. EmmĂšne-moi, SacrĂ©e bouteille, Billy Boy⊠rythmaient joyeusement les randos ou les veillĂ©es autour du feu. Mais je lâai ensuite dĂ©couvert sous un autre jour, grĂące aux deux albums 33 tours que jâĂ©coutais sur le tourne-disque avec le haut-parleur orange celui de 1966, sans titre, mais souvent identifiĂ© par son premier titre Joue, joue, joue, et celui de 1968, Le jour de clartĂ© Deux disques indispensables, que jâai Ă©coutĂ© en boucle pendant des annĂ©es. Jây retrouvais des chansons de la cassette, mais aussi dâautres perles comme JusquâĂ la ceinture, Petit garçon que jâai moi-mĂȘme chantĂ© plus tard Ă mes filles lors de la veillĂ©e de noĂ«l, Joue joue joue, le fabuleux Henrik, le cynique Petites boites⊠je pourrais toutes les citer tellement ces deux albums nâont absolument rien Ă jeter. Mais si je devais tout de mĂȘme nâen retenir quâune, ce serait sans hĂ©siter La mer est immense, magnifique adaptation du traditionnel The water is wide / OâWaly, Waly. Ce morceau a Ă©tĂ© repris maintes fois, de Renaud Ă Neil Young, en passant par Mark Knopfler âș Ma chronique sur cette chanson Ă la loupe » Son talent pour les traductions et adaptations Si Hughes Aufray a su trĂšs bien adapter les textes de Bob Dylan, Graeme Allwright, lui, a permis de faire dĂ©couvrir au public francophone, des grands noms du folk Pete Seeger JusquâĂ la ceinture, Tom Paxton SacrĂ©e bouteille, Quâas-tu appris Ă lâĂ©cole ?, Bob Dylan Ă©galement Qui a tuĂ© Davy Moore ?, Johnny Cash EmmĂšne-moi, mais surtout Leonard Cohen. Outre Suzanne et LâĂ©tranger qui figurent sur Le jour de clartĂ© en 1968, il a sorti un album dĂ©diĂ© au poĂšte folk Graeme Allwright chante Leonard Cohen en 1973. On y retrouve des morceaux parus sur des albums prĂ©cĂ©dents, comme par exemple Jeanne DâArc ou Les SĆurs de la misĂ©ricorde, mais aussi Diamants dans la mine, Avalanche, LâHomme de lâan passĂ©, et Demain sera bien Il a encore repris dâautres chansons de Cohen sur des albums ultĂ©rieurs De passage, Danse-moi vers la fin de lâamour, Lover, Lover, Lover⊠Mais il faut Ă©galement souligner quâil a fait lâinverse il a traduit Brassens en anglais, ce qui de prime abord ne semblait pas aisĂ©. Passer de lâanglais au français et inversement. Son Ă©ducation bilingue lui a permis de faire le pont entre la chanson française et les protest-songs amĂ©ricaines. Et ainsi faire dĂ©couvrir les richesses de chaque culture aux diffĂ©rents publics, quâils soient anglophones ou francophones. Un humaniste convaincu, et un poĂšte Ce mĂ©lange des cultures collait bien Ă cet humaniste qui avait parcouru le globe en chantant la paix et la fraternitĂ©. Son utopie sâexprime au mieux dans ce titre mĂȘlant anglais et français Last night I had the strangest dream. On peut aujourdâhui trouver les paroles candides, mais on ne peut douter de sa sincĂ©ritĂ©. Et le parolier savait aussi ĂȘtre caustique et poil Ă gratter. En tĂ©moigne ce long monologue adressĂ© Ă un certain ValĂ©ry, en 1975, fraĂźchement Ă©lu PrĂ©sident de la RĂ©publique Française⊠Dâautres textes comme par exemple Le jour de clartĂ©, Questions, ou Mache medias rappellent que Graeme Allwright Ă©tait bien plus quâun auteur pour camps de scouts. Son antimilitarisme ne faisait aucun doute quand on Ă©coute le vibrant Johnny, mais aussi Quâas-tu appris Ă lâĂ©cole ? ou encore Deux jeunes frĂšres, et bien sĂ»r JusquâĂ la ceinture Un texte original de Pete Seeger, qui va bien au-delĂ dâune critique de lâarmĂ©e, mais fustige Ă©galement la propension de la sociĂ©tĂ© Ă continuer de foncer dans le mur sans Ă©couter les signaux dâalerte⊠un message malheureusement encore terriblement dâactualitĂ©, dans bien des domaines. Enfin, Graeme Allwright ne faisait pas quâadapter les paroles des autres. Il savait lui aussi faire vibrer les mots. Que ce soit avec un humour tendre sur La petite souris, un onirisme chimĂ©rique dans La plage, une sensation de lĂącher-prise total avec Viendras-tu avec moi, ou encore le ressenti de lâartiste sur scĂšne Ă travers La chanson de lâadieu. Mais une de ses plus belles chansons que je garderai en souvenir de celui que jâai eu la chance de voir sur scĂšne en 1986 ou 87, sâintitule justement Garde le souvenir Au revoir Graeme © Jean-François Convert â FĂ©vrier 2020
Citons"il faut que je m'en aille", que connaissent tous ceux qui ont fait des colos (enfin, peut-ĂȘtre seulement les plus de 40 ou 45 ans). Et "Qui a tuĂ© Davy Moore", qui est dans la base. Trocol Harum Le 20/02/2020 Ă 01:59 La chanson "Waist deep in the big muddy" de Pete Seeger a Ă©tĂ© adaptĂ©e en français par Graeme Alwright sous l'intitulĂ© "Jusqu'Ă la
Mes bien chers FrĂšres, Notre Seigneur dit Ă ses disciples âIl est bon pour vous que je mâen ailleâ. Câest que lâinstrument doit disparaĂźtre au profit de la rĂ©alitĂ©. Il faut faire application de ces paroles divines Ă toutes les situations oĂč la sagesse divine nous prive des sacrements et des secours visibles. La dĂ©cision du gouvernement, la crise dans lâÂĂglise, nous privent des sacrements. La sagesse de Dieu ne le ferait-elle pas pour notre bien ? Il ne sâagit Ă©videmment pas dâapprouver la dĂ©cision du gouvernement, elle est illĂ©gitime comme la messe moderne est illĂ©gitime, il sâagit de monter plus haut pour nous unir Ă Dieu. Je vous recommande, mes bien chers FrĂšres, de diffuser largement ce sermon pour quâil rassure tant de bons fidĂšles dĂ©semparĂ©s. Comme dâhabitude, voici lâenregistrement, suivi des notes que jâai rĂ©digĂ©es pour ce sermon. Je vous associe aux messes que je cĂ©lĂšbre, câest la premiĂšre fonction du prĂȘtre. TĂ©lĂ©charger Notes pour le sermon Les raisons de lâascension du Christ saint Thomas dâAquin Le Christ, par sa rĂ©surrection, a commencĂ© une vie immortelle et incorruptible. Or, le lieu oĂč nous habitons est celui de la gĂ©nĂ©ration et de la corruption, mais le ciel est celui de lâincorruption. Il ne convenait donc pas quâaprĂšs sa rĂ©surrection le Christ demeure sur la terre ; mais bien au contraire, il fallait quâil monte au ciel. Objection Le Fils de Dieu a pris la nature humaine pour notre salut. Mais il aurait Ă©tĂ© plus salutaire pour les hommes quâil vive toujours avec nous sur la terre. Il le dĂ©clare lui-mĂȘme Ă ses disciples Lc 17, 22 âDes jours viennent oĂč vous dĂ©sirerez voir un seul des jours du Fils de lâhomme, et vous ne le verrez pas.â Il semble donc quâil ne convenait pas au Christ de monter au ciel. RĂ©ponse Lâascension a retirĂ© aux fidĂšles la prĂ©sence corporelle du Christ ; cependant, par sa divinitĂ©, le Christ reste toujours prĂ©sent parmi eux. Aussi dit-il lui-mĂȘme en S. Matthieu 28, 20 âVoici que je suis avec vous jusquâĂ la consommation des siĂšcles.â Celui âqui est montĂ© aux cieux, dit S. LĂ©on nâabandonne pas ceux quâil a adoptĂ©s.â Mais lâascension du Christ qui nous a privĂ©s de sa prĂ©sence corporelle, nous a Ă©tĂ© plus utile que ne lâaurait Ă©tĂ© cette prĂ©sence elle-mĂȘme, pour les raisons suivantes 1° Elle augmente notre foi, qui a pour objet ce quâon ne voit pas. Le Seigneur lui-mĂȘme dit en S. Jean 16, 8 que lâEsprit Saint, lorsquâil sera venu, âconvaincra le monde au sujet de la justiceâ, la justice âde ceux qui auront cruâ, remarque S. Augustin âcar la comparaison des fidĂšles avec les infidĂšles est par elle-mĂȘme la condamnation de ces derniersâ. Aussi le Seigneur ajoute-t-il âje vais au PĂšre, et vous ne me verrez plus.â S. Augustin reprend âBienheureux ceux qui ne voient pas et qui croient. Ce sera donc par notre justice que le monde sera condamnĂ©, car vous croirez en moi sans me voir.â 2° Elle relĂšve notre espĂ©rance. Le Seigneur dĂ©clare Jn 14, 3 âLorsque je mâen serai allĂ© et que je vous aurai prĂ©parĂ© une place, je reviendrai et je vous prendrai avec moi, afin que lĂ oĂč je suis, vous y soyez aussi.â Et le Christ, en emmenant au ciel la nature humaine quâil avait prise, nous a donnĂ© lâespoir dây parvenir, car âpartout oĂč sera le corps sâassembleront les aiglesâ Mt 24, 28. Et MichĂ©e 2, 13 avait prophĂ©tisĂ© âIl monte en frayant le chemin devant eux.â 3° Elle dirige vers les rĂ©alitĂ©s cĂ©lestes lâaffection de notre charitĂ© âRecherchez les choses dâen haut, oĂč le Christ demeure assis Ă la droite de Dieu ; affectionnez-vous aux choses dâen haut, et non Ă celles de la terreâ Col 3, 1. Car, dâaprĂšs S. Matthieu, âoĂč est ton trĂ©sor, lĂ aussi est ton cĆurâ. LâEsprit Saint Ă©tant lâamour qui nous ravit vers les rĂ©alitĂ©s du ciel, le Seigneur dit aux disciples Jn 16, 7 âIl vous est bon que je mâen aille car, si je ne mâen vais pas, le DĂ©fenseur ne viendra pas Ă vous ; mais si je mâen vais, je vous lâenverrai.â Ce que S. Augustin commente ainsi âVous ne pouvez saisir lâEsprit Saint tant que vous persistez Ă connaĂźtre le Christ selon la chair. Lorsque le Christ se fut Ă©loignĂ© corporellement, non seulement lâEsprit Saint, mais encore le PĂšre et le Fils leur furent prĂ©sents spirituellement.â 4° En outre, notre respect pour le Christ sâaugmente, car nous ne le considĂ©rons plus comme un homme terrestre, mais comme Dieu. Aussi lâApĂŽtre Ă©crit-il 2 Co 5, 16 âSi nous avons connu le Christ selon la chairâ, câest-Ă -dire, dâaprĂšs la Glose, selon une chair mortelle qui nous faisait penser quâil nâĂ©tait quâun homme, âĂ prĂ©sent, nous ne le connaissons plus comme telâ. Application lâunion au Christ dans la sainte Eucharistie LâhumanitĂ© du Christ est un instrument, lâinstrument de la divinitĂ© Pour chaque mystĂšre, saint Thomas, nous lâavons constatĂ©, pose la question de la causalitĂ©, câest-Ă -dire comment ce mystĂšre produit-il son effet ? » et, Ă chaque fois il rĂ©pond que lâhumanitĂ© du Christ est lâinstrument de la divinitĂ©. Ce quâest un instrument. La femme malade dâun flux de sang et la frange du manteau de Qui mâa touchĂ© ? » Une force sortait de lui, dit lâĂ©vangĂ©liste. Lâeffet principal le contact avec la divinitĂ© par la foi. pose toujours la foi comme condition aux miracles. Les mystĂšres opĂšrent donc toujours deux effets lâun instrumental par lâhumanitĂ© du Christ, lâautre spirituel qui est lâeffet propre. Le premier nâest quâun moyen, le second est le but. La causalitĂ© instrumentale des sacrements et, principalement, de lâEucharistie LâEucharistie contient le corps, le sang, lâĂąme et la divinitĂ© de JĂ©sus-Christ. Il faut donc lui appliquer, quant Ă ses effets, tout ce que nous dit la thĂ©ologie sur lâhumanitĂ© du Christ elle est cause instrumentale. Le corps et le sang sont lâinstrument pour toucher » la divinitĂ© par la foi et la charitĂ©. La seule maniĂšre de participer pleinement Ă la messe est de communier sacramentellement, car câest la seule maniĂšre de toucher lâhumanitĂ© du Christ. Celui qui ne communie pas sacramentellement participe spirituellement, par la foi et le dĂ©sir. Câest donc une erreur de sĂ©parer la participation Ă la messe et la communion. Le rite aide Ă participer spirituellement, mais la prĂ©sence physique nâest nĂ©cessaire que pour communier sacramentellement. Le danger dâabus quant Ă lâinstrument Le photographe et la cuisiniĂšre. Notre Seigneur il est bon que je mâen aille. Saint Thomas donne quatre raisons Ă cela augmenter la foi, augmenter lâespĂ©rance, tourner vers les rĂ©alitĂ©s cĂ©lestes, plus grand respect de N. S. Lâinstrument est sensible, danger de ne pas sâĂ©lever suffisamment au-dessus du sensible. Il faut en dire autant des sacrements dans sa sagesse, Dieu nous en prive pour un plus grand bien et pour les mĂȘmes raisons foi, espĂ©rance, vie intĂ©rieure, plus grand respect. Ainsi, une seule communion par jour, alors quâon doit constamment est uni Ă la divinitĂ©. Plus on vieillit et quâon devient plus ou moins impotent et moins, ordinairement, on peut participer Ă la messe. Les grands malades qui approchent de la mort sont ordinairement privĂ©s de messes. La sagesse de Dieu a mis cela dans notre nature, câest pour que, plus ils approchent de lâĂ©ternitĂ©, plus les vieillards recherchent Dieu dans la foi. Il faut de plus de bonnes dispositions du sujet pour profiter des sacrements. Mgr Lefebvre mettait en garde contre la nĂ©gligence de cultiver de bonnes dispositions sous prĂ©texte que le sacrement agit ex opere operato » câest-Ă -dire de lui-mĂȘme. Il recommandait la messe quotidienne, mais il a interdit de la rendre obligatoire dans les Ă©coles, alors que le chapelet Ă©tait obligatoire quotidiennement. ConsĂ©quences dans la situation actuelle Le coronavirus, mais, auparavant, lâimpossibilitĂ© morale de participer Ă des messes de modernistes et mĂȘme de ralliĂ©s ». Si lâon oublie la participation spirituelle, de dĂ©sir, on ne voit que la participation physique au rite et on est dĂ©semparĂ©. Il faut au contraire rĂ©flĂ©chir si Dieu prive de messe, ce ne peut ĂȘtre que pour un plus grand bien. Ce bien lâaffirme la venue du Saint-Esprit, il nous prĂ©pare une place au Ciel. Beaucoup de prĂȘtres de la FraternitĂ© Saint Pie X, ainsi que la plupart des prĂȘtres zĂ©lĂ©s, mĂȘme dans lâĂglise moderne, sâinquiĂštent de ce que leurs fidĂšles nâaient pas les sacrements et se dĂ©pensent pour donner la messe et la communion. Câest bon et louable Ă condition de ne pas augmenter la confusion sâils nâont pas une bonne thĂ©ologie sur lâhumanitĂ© du Christ et sur les sacrements, ils nâaideront pas les fidĂšles Ă entrer dans le plan de Dieu.
ilfaut que je m'en aille, graeme allwright c f c le temps est loin de nos vingt ans, des coups de poing des coups de sang f c g7 c mais qu'Ă n'c'la n'tienne c'est pas fini, on peut chanter quand
Harry Potter 2005 ~€~ AcadĂ©mie de Poudlard ~€~ Cours AstronomieInvitĂ© Cours n°1 Blessures physiquesInvitĂ©, le Dim 26 Oct - 1908 Les choses pouvaient commencer... Elles allaient bientĂŽt commencer... Non, en fait elles Ă©taient en train de commencer le cours dĂ©marrait dans dix minutes. Ce n'Ă©tait pas le contenu qui dĂ©rangeait Rurik, plutĂŽt la forme. GĂ©rer environ une quinzaine de gosses lui semblait ĂȘtre une tĂąche insurmontable. Pendant un instant, il songea plutĂŽt Ă s'enfuir et retourner en Russie son groupe de mafieux Ă©tait beaucoup plus simple Ă orchestrer, car il avait le droit de les faire souffrir s'ils n'obĂ©issaient pas, il avait tous les c'Ă©tait Ă coup de retenues et de points en moins... Haha... TrĂšs drĂŽle. Certains insolents mĂ©ritaient bien un crochet du droit dans la mĂąchoire. Peut ĂȘtre que la directrice pouvait lui donner cette les Ă©paules d'un air blasĂ©, l'imposant sorcier traversa la salle de classe d'un pas rapide. Tout le monde devait s'attendre Ă ce qu'il soit bien habillĂ©, en blouse de mĂ©decin, avec peut-ĂȘtre un stĂ©thoscope autour du cou du moins si les nĂ©s-sorciers connaissaient l'existence de cet instrument, mais ce n'Ă©tait pas le cas les professeurs n'avaient pas d'uniforme obligatoire, il n'Ă©tait pas Ă Sainte-Mangouste, il Ă©tait "libre". Rurik avait donc optĂ© pour un simple pantalon en toile sombre, des chaussures du mĂȘme ton mais de facture militaire il ne s'en lassait pas... c'Ă©tait toujours pratique pour Ă©craser des visages... , et enfin, une large chemise vert foncĂ© qui ne faisait pas vraiment "large" une fois enfilĂ©e. C'Ă©tait ça d'ĂȘtre au delĂ du traditionnel XXL Ă cause de sa carrure. Ouvrant la porte pour laisser les Ă©lĂšves entrer et s'installer, il se passa une main sur le visage...** Ta baguette, Rurik, ta baguette ! ** russe n'Ă©tait pas un adepte de la magie comme esclave lorsqu'il pouvait gĂ©nĂ©ralement se lever et aller faire lui mĂȘme quelque chose. Jamais il ne se laisserait aller au point de devenir un gros sorcier bedonnant qui suait au moindre mouvement de bras. Inconsciemment, peut ĂȘtre que ces trois annĂ©es d'entraĂźnements extrĂȘmes, suivis de toute une vie d'exercices intensifs au quotidien Ă©tait un moyen d'Ă©viter de devenir ainsi... une sorte de phobie du sort, il pointa sa baguette sur le tableau qui faisait face Ă toutes les places assises MĂ©dicomagieBases sur les blessures physiquesHistoire de... Rappeler aux Ă©lĂšves qu'ils n'Ă©taient pas en cours de Botanique ? Traversant Ă nouveau la salle pour retourner se placer Ă cĂŽtĂ© du tableau, il nota un dĂ©tail particulier il y a avait une table en trop. Ces elfes de maison n'avaient rien compris, pour changer... Trop occupĂ©s Ă faire des rĂ©vĂ©rences et baragouiner des mots gentils pour Ă©couter correctement ce qu'on leur demandait. Bah, pour changer, on fait tout soi-mĂȘme... » cela le mettait de bonne humeur devoir pallier Ă quelques petits soucis dans le genre ne le dĂ©rangeait pas plus que ça, au contraire. Sans le moindre effort, il attrapa la table et la souleva, allant la poser non loin du tableau ça lui servirait sans doute. S'Ă©tirant briĂšvement les Ă©paules, il songea qu'en fait, il lui fallait juste un peu d'exercice matinal pour se dĂ©tendre. Le professeur nota ceci dans un coin de sa tĂȘte, afin d'y penser le lendemain retournant vers la porte, il vit qu'il n'Ă©tait plus seul des Ă©lĂšves venaient tout juste d'arriver, n'ayant sans doute rien ratĂ© de son petit numĂ©ro de dĂ©mĂ©nagement "Ă la moldue". Tiens, bonjour Ă vous, vous n'ĂȘtes pas en retard, au contraire, installez-vous... On va attendre les autres. »Sa voix demeura grave, rocailleuse et toujours aussi marquĂ©e par son accent russe. La tentative pour paraĂźtre moins intimidant venait donc d'Ă©chouer lamentablement. C'Ă©tait mieux ainsi, au moins il n'avait pas Ă prendre la peine de porter un masque de bienveillance ou toutes ces bĂȘtises dans le genre. Il Ă©tait lĂ pour enseigner, ils Ă©taient lĂ pour l'instant, la salle de cours Ă©tait basique, des tables, des chaises, un tableau... La partie thĂ©orique allait passer en premier, afin de garder "le meilleur pour la fin". En attendant, lui s'Ă©tait assis sur la table qu'il venait de dĂ©placer, les bras croisĂ©s, guettant l'arrivĂ©e des autres Ă©lĂšves, observant Ă©galement ceux qui s'installaient. [ Eh bien voilĂ ! Je vais vous laisser jusqu'au 02/11 dans la soirĂ©e pour arriver, ça devrait coller dans les estimations de tout le monde enfin, de ceux qui en ont donnĂ© une.... A partir de lĂ , vous serez considĂ©rĂ©s comme en retard. Pour ceux qui voudraient papoter entre eux ou avec moi promis je mords pas !, faites vous plaisir, je surveille le sujet, donc je pourrais rĂ©pondre le plus vite possible ! ] Lilith BeeGryffondor Re Cours n°1 Blessures physiquesLilith Bee, le Dim 26 Oct - 1931 Comme si son programme n'Ă©tait pas assez chargĂ©, Lilith s'Ă©tait inscrite Ă un nouveau cours proposĂ© par l'acadĂ©mie de magie de Poudlard MĂ©dicomagie. Bizarre que l'on propose un cours si compliquĂ© Ă des Ă©lĂšves encore novices, mais aprĂšs tout cela changeait des sempiternelles cours de "Potion/histoire/DCFM/enchantements..." . Un peu d'originalitĂ© quoi! C'est donc aprĂšs un repas avalĂ© en vitesse qu'elle se dirigea seule vers la salle anciennement attribuĂ©e au professeur d'histoire de la magie. Une fois sur le pas de la porte, dĂ©jĂ ouverte, elle s'arrĂȘta brusquement, et laissa tomber son sac Ă ses pieds. L'armoire Ă glace qui venait juste d'ouvrir la porte ne semblait pas l'avoir remarquĂ©e. Il attrapa une table, un rictus amusĂ© sur le visage, la dĂ©plaça avec une facilitĂ© dĂ©concertante et s'assit sur une table en croisant les bras. Tiens, bonjour Ă vous, vous n'ĂȘtes pas en retard, au contraire, installez-vous... On va attendre les autres. »Les yeux de la Gryffondor ne l'avaient pas trahie, l'accent Russe qu'elle venait d'entendre confirmait la prĂ©sence de Rurik dans la salle de cours... Lui? Professeur? Alors qu'il arrivait Ă peine Ă supporter la prĂ©sence de Lilith plus d'une heure? Retrouvant ses capacitĂ©s, elle ramassa le sac qui trainait Ă ses pieds et rentra dans la salle, un grand sourire moqueur sur les lĂšvres. Sachant qu'elle Ă©tait la premiĂšre arrivĂ©e, elle se permit une familiaritĂ© avec celui qui l'avait initiĂ© au crime. " Bonjour "Professeur". Elle appuya bien sur l'ironie du dernier mot, adressant un regard entendu au nouvel enseignant. Si je m'attendais Ă te retrouver ici! Je pense que l'on ne risque pas de s'ennuyer pendant cette heure... Mais on t'a prĂ©venu qu'il Ă©tait interdit de frapper les Ă©lĂšves? "Elle se mit Ă rire gentiment, presque prise de pitiĂ© pour lui. Il allait lui falloir beaucoup de self control pour tenir toute une journĂ©e de cours! Lilith jeta un coup d'oeil au tableau MĂ©dicomagieBases sur les blessures physiquesIntĂ©ressant...Sans se dĂ©partir de son air amusĂ©, elle s'installa nonchalamment sur une table proche du bureau, au tout premier rang, et sorti un parchemin et une plume. S'il devait y avoir une partie pratique, elle comptait bien ĂȘtre aux premiĂšres loges! Rurik Ă©tait capable de tout, mĂȘme de se servir d'Ă©lĂšves pour illustrer son cours... InvitĂ© Re Cours n°1 Blessures physiquesInvitĂ©, le Dim 26 Oct - 2009 Jasmine venait de sortir de la salle commune des aigles. Elle portait un sac en bandouliĂšre, contenant ses plumes et parchemins. N'ayant pas encore eu cours ce matin, elle marchait d'un pas rapide, prenant la direction de la Grande Salle. Son premier cours de la journĂ©e serait un cours de MĂ©dicomagie. La jeune femme ne souhaitait pas vraiment s'orienter dans ce domaine pour son futur Ă©tier, mais, malgrĂ© cela, elle avait particuliĂšrement hĂąte d'assister Ă ce cours. C'Ă©tait le premier de ce genre qui avait lieu Ă Poudlard, et elle comptait bien en profiter pour acquĂ©rir un bon nombre de connaissances Ă ce sujet. C'est donc aprĂšs un rapide repas Ă la table des Serdaigles que la blonde montait les escaliers, jusqu'Ă arriver devant la salle prĂ©vue pour le cours. Elle jeta un coup d'oeil Ă la montre en argent se trouvant Ă son poignet. Hum... Elle avait dix minutes d'avance. Aucun soucis, la porte Ă©tait dĂ©jĂ ouverte de toutes maniĂšres. Elle s'approcha, percevant ainsi quelques paroles. Tiens, bonjour Ă vous, vous n'ĂȘtes pas en retard, au contraire, installez-vous... On va attendre les autres.»C'Ă©tait une voix grave avec un fort accent russe qu'elle venait d'entendre, suivie d'une autre plus aiguĂ« et fĂ©minine. " Bonjour "Professeur". Si je m'attendais Ă te retrouver ici! Je pense que l'on ne risque pas de s'ennuyer pendant cette heure... Mais on t'a prĂ©venu qu'il Ă©tait interdit de frapper les Ă©lĂšves? "Pour ce permettre une telle familiaritĂ© avec l'enseignant, cette jeune femme devait dĂ©jĂ le connaitre. Finalement, Jasmine entra Ă son tour. Assis sur une table, elle put voir un homme Ă la carrure impressionnante. Face Ă lui, installĂ©e Ă une table du premier rang, se trouvait la propriĂ©taire de la voix qu'elle avait entendu, une Gryffondor. La Bleue et Bronze s'avança, adressant un petit sourire Ă l'homme qu'elle prĂ©sumait MĂ©dicomage. "Bonjour Professeur," dit-elle Ă son tour. Puis, elle alla s'installer Ă une table du premier rang, opposĂ©e Ă celle de l'autre Ă©lĂšve. Elle voulait profiter du fait qu'il y avait encore des places libres aux premiers rangs, afin d'ĂȘtre sĂ»re de pouvoir ĂȘtre totalement attentive. Il ne fallait pas qu'elle se laisse distraire par autre chose que le cours. Ses yeux se posĂšrent sur le tableau, et ce qui y Ă©tait sur les blessures physiquesJasmine sortit ensuite un rouleau de parchemin vierge, ainsi que l'une de ses plumes. Ainsi, elle pourrait aisĂ©ment prendre en notes les paroles du professeur, le moment venu. Pour l'instant, elle avait juste Ă attendre l'arrivĂ©e des autres Ă©lĂšves. Hugo MourlevatPoufsouffle Re Cours n°1 Blessures physiquesHugo Mourlevat, le Dim 26 Oct - 2028 Morgan bailla Ă s'en dĂ©crocher la mĂąchoire. Il avait eut un rude et long dĂ©but de semaine. Beaucoup de professeurs avaient dĂ©sirĂ© tester leurs connaissances, et trĂšs souvent Ă l'Ă©crit. Il avait donc du rĂ©viser Ă fond pour ĂȘtre au top La loi de Gamp et ses exceptions pour la mĂ©tamorphose, les CrĂ©atures du Lac Noir pour la DĂ©fense Contre les Forces du Mal, il avait du s'entraĂźner au sortilĂšge d'Attraction -Belle en avait d'ailleurs marre de voleter aprĂšs son miam-hibou qu'elle en a mordu l'index de Morgan, c'est pourquoi il porte un pansement autours-. Il patientait devant la porte du nouveau cours, sans parler Ă personne quand celle-ci s' bonjour Ă vous, vous n'ĂȘtes pas en retard, au contraire, installez-vous... On va attendre les Poufsouffle dĂ©glutit. Il salua timidement et presque inaudiblement son nouveau professeur. Celui-ci l'intimidait beaucoup et cela pouvait se lire sur son visage. Il alla s'installer au deuxiĂšme rang. Il essaya de faire le moins de bruit possible, ne connaissant pas le russe, il ne voulait pas l'Ă©nerver. Il sortit un parchemin neuf et inscrivit le titre ce qui Ă©tait au tableau. Les blessures physiques ? PitiĂ©, qu'il ne nous charcute pas pour qu'on s'entraĂźne sur nous-mĂȘme ! Il dĂ©posa ensuite sa plume et se tint droit comme un i, fixant devant lui. Peut ĂȘtre finirait-il par disparaĂźtre ? InvitĂ© Re Cours n°1 Blessures physiquesInvitĂ©, le Dim 26 Oct - 2037 Pour une fois je n'Ă©tais pas tirer du sommeil Ă cause d'un oreiller tirer par une blondinette en mode amazone qui avait perdu un de ces prĂ©cieux vĂȘtements et qui Ă©tait persuadĂ©e que c'Ă©tait moi qui les lui avaient empruntĂ©e. Ah un doux rĂ©veil... pour une fois ! J'ai pensĂ© trop vite. Je me lĂšve, m'extirpant avec regret de la chaleur de mon lit. Je me prend le pied dans un manuel scolaire et m'Ă©crase sur le sol. Une de mes camarades de dortoir ricane et agacĂ©e je lui envoie un oreiller en pleine poire. Bam ! On s'habillent tout en se balançant des oreillers a la face. Une bataille de polochon plus tard je me tire enfin du dortoir en gueulant Ă mes camarades que j'avais cours de mĂ©dicomagie. Je ne pris pas de petit dĂ©jeuner de un parce que je n'avais pas faim et de deux parce que devant la derniĂšre expĂ©rience que j'avais eue autant avoir l'estomac vide. Et de trois parce que j'etais un peu en retard. MĂ©dicomagie... C'Ă©tait un nouveau cours pour nous initier a cet art si du sang qui pisse de partout c'est de l'art bien sĂ»r.... Pas que je voulais devenir mĂ©dicomage plus tard, oh ça non en fait, je m'Ă©tais inscrite pour changer d'air. Alors que je progressais dans les couloirs je me rĂ©pĂ©tais inlassablement pourquoi je m'y Ă©tais inscrite. Mais la rĂ©ponse me frappa de plein fouet. Quand on flippe Ă mort lorsqu'on se retrouve dans un hĂŽpital, il fallait tout de mĂȘme connaĂźtre les bases. Je finis par arriver Ă la salle ou se dĂ©roulait le cours. A mon entrĂ© dans la piĂšce je restais un moment Ă©tonnĂ©e comme une idiote les bras ballants. Parce que oui je me rapellais du prof'. TrĂšs bien mĂȘme. Je frissonnais en me rapellant cette nuit la Ă Ste Mangouste. - Bonjour m'sieur. C'est Ă©tonnant de vous voir dans une salle de classe. En fait vous ne ressemblez ni a un medicomage ni a un professeur. AprĂšs je dis ça je dis rien...Je m'assis a cĂŽtĂ© d'une Serdaigle au premier rang aprĂšs avoir jetĂ© mon sac sur ma table. Je lui adressais un petit sourire avant de sortir parchemins et Salut. Moi c'est Astrid et toi ?Je fixe un moment notre nouveau professeur, une vĂ©ritable armure Ă glace. DĂ©cidement le surnom de grosse brute, que je lui avais donne cette nuit-la, lui allait a la perfection. Etrangement j'avais hĂąte que le cours commence ça promettait d'ĂȘtre super-intĂ©ressant. Et avec un peu de chance je ne degobillerais pas...Tout en attendant sa rĂ©ponse j'enfouis ma tĂȘte entre mes bras. J'aperçu soudain Morgan et me redressais donc. Je dĂ©chirais un bout de parchemin ou j'Ă©crivis un ''bouh'' maladroitement. Apres avoir fouillais dans mon sac je sortis la photo d'un Morgan au top de sa forme couvert de crĂšme ainsi qu'une grimace crĂ©tine sur la face. Je souris moqueusement. Ah cette photo me fera longtemps marrait... J'en avais mĂȘme un autre exemplaire au dortoir... Je roulais en boule les deux papiers et a l'aide d'un sortilĂšge, ils atterirent sur la table de mon ami d'enfance. Niark. Eileen I. HilswoodMDJ-G en formationHarryPotter2005 Re Cours n°1 Blessures physiquesEileen I. Hilswood, le Dim 26 Oct - 2051 Izsa Ă©tait trĂšs curieuse de voir comment se dĂ©rouleraient ces nouveaux cours. MĂ©dicomagie. Il n'y en avait encore jamais eu, Ă ce qu'elle sache, et c'Ă©tait une grande innovation pour Poudlard. Elle Ă©tait vraiment contente de ce nouveau sujet, grĂące Ă cela elle aurait moyen de se renseigner un peu plus sur la voie de MĂ©dicomage, mĂ©tier qu'elle envisageait parmi tant d'autre. Ce cours lui permettrait donc d'avoir un aperçu, et si ça ne lui plaisait pas, au moins elle s'en rendrait compte assez fut la cinquiĂšme a rentrer dans la piĂšce. Et, mis Ă part Lilith, les gens dans la piĂšce ne lui inspirait guĂšre de sympathie. Il y avait une Gryffondor inconnue, une Serdaigle avec qui elle avait eu une altercation chez Guipure elle la reconnu Ă ses cheveux trĂšs blonds, ainsi que Mini-Poufffy, un gamin qui s'Ă©tait cru intelligent en lui balançant un Immobilus. Autrement dit, que du beau monde. Et en plus, le prof ne correspondait pas du tout, mais alors pas du tout, Ă l'idĂ©e qu'elle se faisait d'un MĂ©dicomage. C'Ă©tait une armoire Ă glace au visage antipathique. Le genre de personne qu'on imaginait plus dans un ruelle sombre de l'AllĂ©e des Embrumes plutĂŽt que derriĂšre le bureau d'un professeur, ou dans un le salua d'un vague "Bonjour Monsieur" et s'assit auprĂšs de Lilith. Ce qui Ă©tait Ă©trange, c'Ă©tait que son amie semblait connaĂźtre Professeur Armoire Ă Glace, et elle se demandait bien d'oĂč ces deux lĂ aurait bien pu se connaĂźtre. Elle resta attentive, cherchant Ă glaner le plus d'informations possibles. InvitĂ© Re Cours n°1 Blessures physiquesInvitĂ©, le Dim 26 Oct - 2152 La dĂ©ferlante de charmantes petites tĂȘtes blondes se rĂ©pandit dans la classe comme un herpĂšs dans un club d'Ă©changistes. Sur cette image trĂšs motivante, Rurik eut donc la "joie" de reconnaĂźtre Lilith... Sa chĂšre et tendre "apprentie"... ou victime ? Peu importait, elle avait intĂ©rĂȘt Ă se faire discrĂšte...- Bonjour "Professeur". Si je m'attendais Ă te retrouver ici ! Je pense que l'on ne risque pas de s'ennuyer pendant cette heure... Mais on t'a prĂ©venu qu'il Ă©tait interdit de frapper les Ă©lĂšves ?Bon, au vu des autres Ă©lĂšves prĂ©sents, l'on ne pouvait pas dire que le fait qu'ils se connaissaient dĂ©jĂ soit passĂ© "discrĂštement". Il fallait une approche un peu plus... autoritaire ? Son poing dans sa figure ? NON ! Ne pas penser Ă des trucs agrĂ©ables ! Pas maintenant !D'autres petites tĂȘtes s'installĂšrent en silence, comme manipulĂ©s par une force invisible, les habitudes transformaient les gens en moutons pathĂ©tiques... Une autre Ă©lĂšve lui fit se rappeler un soir particuliĂšrement animĂ© Ă Sainte-Mangouste Astrid... DĂ©cidĂ©ment, il Ă©tait content de ne pas connaĂźtre plus d'Ă©lĂšves de Poudlard, car sinon il aurait trĂšs bien pu les voir dĂ©filer. L'ex-blessĂ©e s'autorisa Ă©galement une familiaritĂ© - Bonjour m'sieur. C'est Ă©tonnant de vous voir dans une salle de classe. En fait vous ne ressemblez ni a un medicomage ni a un professeur. AprĂšs je dis ça je dis rien...D'accord... L'idĂ©e d'un bon crochet du droit vint le titiller avec acharnement... Non Rurik, rester calme, professionnel. Ătirant un sourire froid, qui n'aidait en rien Ă le rendre moins menaçant bien au contraire, il s'approcha de Lilith. Peut-ĂȘtre que la directrice a omis de me le prĂ©ciser... Mais est-ce que toi on t'as prĂ©venu qu'il ne fallait pas manquer de respect Ă son professeur ? Ăa fera cinq points en moins Ă Gryffondor... »Il tourna son regard vers Astrid. ...pour chacune. Et la prochaine fois que vous vous faites charcuter la jambe et que vous ĂȘtes sur le point de mourir par empoisonnement, nous pourrons discuter longuement de mes qualifications, Miss Reckless. »En passant Ă cĂŽtĂ© de Lilith, il lui tapota le crĂąne d'une de ses grosses paluches. En fin de compte, il savait s'y prendre sans effusions de sang... il se surprenait tout seul. Trop sĂ©vĂšre ? Naaan... Elles l'avaient cherchĂ© ! S'Ă©tant rapprochĂ© du jeune Poufsouffle timide et silencieux, il intercepta le projectile envoyĂ© par Astrid. Quand le cours aura commencĂ©, j'attends tout de mĂȘme un peu plus de discrĂ©tion que ça... »Curieux, bien Ă©videmment, il dĂ©roula la boule composĂ©e de deux papiers un morceau de parchemin et une photographie. Sur le papier une boutade d'adolescent manquant horriblement d'originalitĂ©. La photographie mettait en scĂšne le jeune garçon aprĂšs s'ĂȘtre sans doute fait recouvert d'une... Ă©trange substance... Le grand sourire qu'il abordait ajoutait beaucoup au comique de la Ă©chapper un bref grognement, amusĂ©, il commenta Je vois qu'on s'amuse bien en dehors des cours... Par contre, je me passerais bien des dĂ©tails. »Posant le tout sur la table pour laisser dĂ©couvrir Ă ce jeune homme ce que son professeur venait de voir, il retourna s'installer sur la table qu'il avait dĂ©placĂ©, comme s'il s'agissait de sa place de prĂ©dilection, afin de bien avoir tout le monde en vue... Et de donner l'impression d'ĂȘtre une grosse brute attendant sagement qu'on lui apporte ses victimes... mais ça, il ne s'en rendait pas cours promettait d'ĂȘtre intĂ©ressant, en fin de compte. InvitĂ© Re Cours n°1 Blessures physiquesInvitĂ©, le Dim 26 Oct - 2159 Logan s'Ă©tait levĂ© plus tĂŽt en cette matinĂ©e pour aller courir un peu avant d'aller rejoindre son cours de MĂ©dicomagie. La mĂ©dicomagie, cela intĂ©ressait grandement le rouge et or. Bon, pas autant que la DĂ©fenses Contre les Forces du Mal ou le Quidditch mais, intĂ©ressant tout de mĂȘme. Et puis cela changerait de sa routine habituelle. Un peu de nouveautĂ©, cela ne ferait de mal Ă personne. Une fois son jogging terminĂ©, Logan fila vers la grande salle et mangea Ă grande vitesse. Son encas terminĂ©, il se dirigea en courant Ă la vitesse de l'Ă©clair en direction de son dortoir pour rĂ©cupĂ©rer ses affaires. Une fois son sac et sa baguette prise, il se dirigea vers la salle dĂ©diĂ© au cours de le jeune homme arriva dans la salle, il remarqua qu'il y avait dĂ©jĂ plusieurs Ă©lĂšves prĂ©sent dont Astrid Reckless, sa meilleure amie et Lilith Bee, une autre Gryffondor que le beau brun avait dĂ©jĂ croisĂ© plusieurs fois dans la salle commune et Ă certains cours de DCFM. Logan partit saluer le professeur avant de saluer Astrid."Bonjour m'sieur Mkrovsk, hĂąte que votre cours commence. Votre cours va changer notre routine habituelle. Et bonne chance pour nous gĂ©rer"Une fois son professeur saluĂ©, Logan se dirigea vers Astrid et lui Ă©bouriffa les cheveux en signe de Bonjour, puis s'assit Ă la table situĂ©e juste derriĂšre cette derniĂšre. Logan lut alors le tableau MĂ©dicomagieBases sur les blessures physiquesLogan pensa que c'Ă©tait un bon dĂ©but pour commencer. Il sourit donc amusĂ© et attendit tranquillement que le cours commence. Ebenezer LestrangeSerdaigle Re Cours n°1 Blessures physiquesEbenezer Lestrange, le Dim 26 Oct - 2219 MĂ©dicomagie... Ăa commençait comme mĂ©tamorphose sauf que c'Ă©tait mille fois plus intĂ©ressant et beaucoup plus facile. En plus, Ebenezer voulait devenir mĂ©dicomage parce que un, c'Ă©tait un mĂ©tier suffisamment respectable pour que son pĂšre ne lui traĂźne pas la tĂȘte, deux ça l'aiderait Ă mieux connaĂźtre l'anatomie humaine ce qui serait trĂšs utile pour ses expĂ©riences Ă venir et trois, en cas de bagarre, personne ne serait au courant qu'il s'Ă©tait fait pĂ©tĂ© le nez ou qu'il avait pĂ©tĂ© le nez de quelqu'un, sa sĆur par exemple, pour cause de coup de pied non-contrĂŽlĂ©. En fait, il maĂźtrisait plutĂŽt bien les Episkey maintenant, il ne laissait presque plus de cicatrice. Les sorts plus complexes, par contre, il ne les connaissait pas. Tant mieux, il avait cours de arriva dans la salle cinq minutes avant l'heure et le moins qu'on puisse dire, c'Ă©tait que le nouveau prof Ă©tait imposant. TrĂšs imposant mĂȘme, une vĂ©ritable armoire Ă glace, le genre de type avec qui il valait mieux ĂȘtre poli. Il l'aurait croisĂ© dans la rue, il aurait changĂ© de trottoir direct et ne se serait jamais doutĂ© qu'il Ă©tait mĂ©dicomage. Pas mal d'Ă©lĂšves Ă©taient arrivĂ©s. Au premier rang, Vagneur semblait dĂ©jĂ prĂȘte Ă noter la moindre parole, mais surtout Lilith et Izsa s'y Ă©taient installĂ©es. C'Ă©tait quoi cette arnaque? Depuis quand on se mettait tout devant? Surtout qu'il restait plein de place au fond. Avant de partir s'asseoir, il salua le professeur qui trĂŽnait sur une table d'un "Bonjour Monsieur" poli, fit un signe de tĂȘte en direction de Jasmine et posa son sac sur la table Ă cotĂ© de celle d' Depuis quand on s'assoit au premier rang? chuchota-t-il, un brin se tourna ensuite vers le tableau, "Bases sur les blessures physiques" et vu l'allure du professeur, Ebenezer n'Ă©tait pas trĂšs rassurĂ© pour la pratique. Il voyait dĂ©jĂ le type tabasser un de ses Ă©lĂšves contre une table avant de dĂ©clarer un truc dans le genre "VoilĂ votre cobaye, dĂ©brouillez-vous"... InvitĂ© Re Cours n°1 Blessures physiquesInvitĂ©, le Dim 26 Oct - 2229 Face avait passĂ© une nuit complĂšte de repos. Une vraie nuit pour une fois. Le sommeil se faisait rare et donc son humeur en Ă©tait souvent mauvaise. Quoi de plus pratique lorsque l'on devait affronter une journĂ©e entiĂšre de cours ennuyeux Ă mourir. Mais aujourd'hui ce n'Ă©tait pas le cas. Son planning Ă©tait lĂ©ger et une matiĂšre inĂ©dite Ă©tait prĂ©vue. La curiositĂ© l'avait rattrapĂ©e et la jeune fille ne cessait d'y songer. La mĂ©dicomagie ! Un sujet vaste et intĂ©ressant qui ne manquerait pas de la surprendre. D'autant plus qu'elle peut s'avĂ©rer pratique et donc d'un pas enthousiaste que la Poufsouffle se rendit dans la salle de cours de Un Ă©trange professeur selon les rumeurs. Mais ne portons pas de jugement avant de s'en ĂȘtre fait sa propre opinion. Elle passa le seuil de la porte et fut accueillie par un bonjour et une invitation Ă rejoindre les tables de la classe. - Bonjour professeur, rĂ©pondit-elle. Ravie de pouvoir assister Ă votre premier cours jeune brune s'avança alors et prit place Ă cĂŽtĂ© d'un garçon de sa maison. Elle le salua d'un signe de tĂȘte et d'un sourire confiant. Tout Ă©tait Ă©trangement parfait, et Face n'en pouvait ĂȘtre que plus heureuse. Elle contempla alors le sujet du jour Bases sur les blessures physiques. GĂ©nial, j'espĂšre qu'on va pas finir en petits lĂ©gumes !» pensa-t-elle. Sa joie baissa petit Ă petit. Quand la pratique arrivera, quels genres d'expĂ©riences devront-ils donc faire ? La jaune et noire Ă©mit une grimace Ă la seule pensĂ©e des possibles douleurs qu'ils allaient devoir endurer. InvitĂ© Re Cours n°1 Blessures physiquesInvitĂ©, le Dim 26 Oct - 2233 Quelques minutes aprĂšs que Jasmine se fut installĂ©e, une autre jeune femme entra dans la salle. Ătrangement, elle se permit Ă©galement de saluer familiĂšrement le professeur. - Bonjour m'sieur. C'est Ă©tonnant de vous voir dans une salle de classe. En fait vous ne ressemblez ni a un medicomage ni a un professeur. AprĂšs je dis ça je dis rien...Au moins, elle, elle l'avait vouvoyĂ©, comparĂ© Ă cette autre Gryffondor. Puis, la nouvelle arrivante s'installa Ă ses cĂŽtĂ©s, ne tardant pas Ă se Salut. Moi c'est Astrid et toi ?Elle avait dĂ©jĂ dĂ» la croiser, quelques fois, dans les couloirs. Elle devait ĂȘtre Ă Gryffondor, si ses souvenirs Ă©taient bons. Alors, elle prit la parole Ă son tour, lui offrant un sourire amical. "Salut, je suis Jasmine. EnchantĂ©e."Puis, les paroles de lâenseignant l'interpelĂšrent, et elle porta son attention sur la dĂ©nommĂ©e Lilith. Du moins, elle pensait qu'elle s'appelait ainsi. "Peut-ĂȘtre que la directrice a omis de me le prĂ©ciser... Mais est-ce que toi on t'as prĂ©venu qu'il ne fallait pas manquer de respect Ă son professeur ? Ăa fera cinq points en moins Ă Gryffondor..." Il se tourna ensuite vers Astrid. "...pour chacune. Et la prochaine fois que vous vous faites charcuter la jambe et que vous ĂȘtes sur le point de mourir par empoisonnement, nous pourrons discuter longuement de mes qualifications, Miss Reckless."Jasmine dĂ©glutit. On pouvait dire que cet homme n'hĂ©siterait pas Ă user de son rang Ă Poudlard si elle osait faire le moindre faux pas. Chose qu'elle comptait bien Ă©viter. Pas question qu'elle fasse perdre des points Ă sa maison. S'ensuivit ensuite un petit contretemps concernant l'envoi qu'Astrid venait de faire Ă Morgan. Mais, la Bleue et Bronze n'y porta que peu d'attention. Une Serpentard avec qui elle avait eu une bref dispute venait d'arriver. Bien Ă©videmment, elle l'avait reconnue. Elle se reconcentra sur son parchemin, qui semblait soudain avoir prit de l'importance Ă ses yeux. Il ne fallait surtout pas qu'elle attire l'attention sur elle. Puis, l'arrivĂ©e d'une personne qu'elle connaissait la fit lever la tĂȘte. Il s'agissait d'Ebenezer, le prĂ©fet des aigles. Il lui adressa un signe de tĂȘte, et elle fit de mĂȘme, avant qu'il n'aille s'assoir. Agonius PrinceSerpentard Re Cours n°1 Blessures physiquesAgonius Prince, le Dim 26 Oct - 2253 Agonius avait toujours aimĂ© les cours et la mĂ©dicomagie lui avait semblĂ© ĂȘtre un bon choix. AprĂšs tout , c'Ă©tait bien beau d'apprendre Ă infliger des dizaines de blessures toutes les plus horribles les unes des autres si il Ă©tait incapable de soigner une coupure superficielle. *Et surtout, me soigner moi-mĂȘme m'Ă©pargnera les questions gĂȘnantes de l'infirmiĂšre* pensa-t-il. Mais lorsqu'il franchit le seuil de la classe , il crut s'ĂȘtre trompĂ© le professeur ressemblait Ă une sorte de vigile psychopathe , plus du genre Ă causer des blessures qu'Ă les soigner. Mais, il ne faut pas se fier aux apparences, hein ? Agonius salua donc rapidement le professeur "Bonjour Monsieur" avant de se tourner vers le reste des Ă©lĂ©ves. *Que des inconnus* soupira-t-il mentalement. Bien dĂ©cidĂ© Ă ce que les inconnus restent des inconnus , Agonius prit une chaise au fond Ă droite de la salle. Autour de lui , il n'y avait que des pupitres vides. *Et qui j'espĂšre , le resteront* Ă©dition par Agonius Prince le Dim 26 Oct - 2254, Ă©ditĂ© 2 fois Raison problĂšme de style Lilith BeeGryffondor Re Cours n°1 Blessures physiquesLilith Bee, le Lun 27 Oct - 115 HRP - J'ai testĂ© un nouveau code couleur pour les noms et les dialogues... ça pique un peu les yeux, je m'en excuse, mais j'ai la flemme de tout bien reprendre en fait. Migraineux s' autre Ă©lĂšve de sa maison entra dans la salle, Lilith remarqua le regard appuyĂ© de Rurik et la rĂ©action de surprise de la jeune fille. Tiens, le mafieux Russe avait peut-ĂȘtre plus de connaissances au chĂąteau qu'il ne voulait bien l'avouer... Bien qu'amusĂ©e par l'expression Ă©tonnĂ©e de la nouvelle arrivante, Lilith ne put retenir une pointe de jalousie. *Si Rurik doit martyriser quelqu'un, c'est moi!*Avant d'aller s'assoir et d'entamer une conversation avec sa voisine, Astrid salua donc le professeur en des termes plutĂŽt familiers- Bonjour m'sieur. C'est Ă©tonnant de vous voir dans une salle de classe. En fait vous ne ressemblez ni a un medicomage ni a un professeur. AprĂšs je dis ça je dis rien...Quel culot! Enfin, pour ĂȘtre honnĂȘte, elle en avait moins eu que Lilith. Mais cette derniĂšre avait dĂ©jĂ goutĂ© Ă la colĂšre froide du grand Russe, qui ne l'effrayait plus. Et elle avait surement tord. Et puis, la salle Ă©tait vide quand elle lui avait adressĂ© la parole! Ce qui n'Ă©tait clairement plus le cas. Izsa arriva quelques temps aprĂšs, mais avant la cohue. Elle salua rapidement le professeur, puis s'assit Ă cotĂ© de la Gryffondor. Elle lui adressa un sourire, mais Izsa prit l'air suspicieux que la rouge et or lui connaissait bien... Cette Serpy avait l'oeil dĂ©cidĂ©ment! La connaissant, Lilith savait qu'elle ne la lĂącherait pas sans avoir eu de plus amples informations sur la nature des relations entre elle et le professeur. La rouge et or s'apprĂȘtait Ă adresser une phrase bien sentie Ă sa voisine quand Rurik s'approcha d'elle avec le sourire malsain qu'il arborait avant de frapper... Elle soutint son regard froid et le regarda venir vers elle. Allait-il la frapper, ici, devant tous ces tĂ©moins? Mise Ă part le fait qu'elle aurait bien aimĂ©e Ă©viter de servir de cobaye au cours, elle Ă©tait assez impatiente de voir sa rĂ©action. - Peut-ĂȘtre que la directrice a omis de me le prĂ©ciser... Mais est-ce que toi on t'as prĂ©venu qu'il ne fallait pas manquer de respect Ă son professeur ? Ăa fera cinq points en moins Ă Gryffondor... *Tiens, la grosse brute commencerait-elle Ă passer aux sanctions plus "acadĂ©miques"?*Elle garda cette rĂ©flexion au fond de sa tĂȘte, mais se promit de lui ressortir un jour. Ou plutĂŽt un soir, Ă un moment oĂč il ne pourrai pas la sanctionner pour insolence! Malheureusement, Gryffondor n'avait pas finit de perdre des points... ...pour - Et la prochaine fois que vous vous faites charcuter la jambe et que vous ĂȘtes sur le point de mourir par empoisonnement, nous pourrons discuter longuement de mes qualifications, Miss Reckless. Donc, elle avait du le croiser suite Ă une blessure. Pile dans le thĂšme du cours! Mais avant qu'elle ait le temps d'y penser, elle sentit une mains s'appuyer sur le haut de son crĂąne avec une force phĂ©nomĂ©nale. Elle leva les yeux et aperçu le torse massive de Rurik qui Ă©tait en train de lui tapoter le crĂąne, comme on le ferait Ă un chien. Cette fois, elle ravala son venin pour Ă©viter de faire de nouveau perdre des points Ă sa maison, mais ne pu se retenir de jurer entre ses dents, assez bas pour qu'il ne puisse pas l'entendre. - M***de, Je ne suis pas ton joujou Rurik...Izsa quant Ă elle Ă©tait assez proche pour entendre le juron de Lilith, et la sorciĂšre se doutait bien que son air inquisiteur n'en serait que plus aiguisĂ©. CachĂ©e derriĂšre une moue boudeuse, Lilith remarqua a peine la suite des pĂ©ripĂ©ties du prof novice avec un projectile, mais leva la tĂȘte quand Eb' vint s'assoir non loin de ses deux amies. - Depuis quand on s'assoit au premier rang?La remarque innocente du Serdaigle eut l'effet de faire sortir Lilith de ses gonds, et elle lui rĂ©pondit d'un ton plus dĂ©sagrĂ©able qu'elle ne l'aurait voulu. - Depuis que je l'ai dĂ©cidĂ©. Et si tu n'es pas content Eb', tu peux toujours aller derriĂšre hein! Puis elle regarda Izsa en haussant les Ă©paules - Bah quoi? Elle se doutait bien que son comportement attiserai la curiositĂ© de ses camarades, mais ils Ă©taient habituĂ©s Ă ses coups de sangs impromptus, alors peut-ĂȘtre ne s'en formaliseraient-ils pas trop? Elle se contenta donc de fixer de nouveau le "mĂ©dicomage" avec un regard qui se voulait noir, mais qui Ă©tait en rĂ©alitĂ© un regard de dĂ©fi. Il voulait la ridiculiser? Et bien, elle serait irrĂ©prochable, aux yeux des spectateurs innocents qu'Ă©taient les Ă©lĂšves. Mais un cours comme celui-ci serait surement propice Ă des allusions pour le moins... personnelles et... sanguinaires. InvitĂ© Re Cours n°1 Blessures physiquesInvitĂ©, le Lun 27 Oct - 148 La mĂ©dicomagie... Levine n'avait pas du tout pour but de continuer dans cette voie aprĂšs ses ASPICs, mais il avait Ă©tĂ© curieux en apprenant que c'Ă©tait la premiĂšre fois que Poudlard proposait cette matiĂšre. Et puis, le Serpentard devait bien s'avouer qu'apprendre quelques sortilĂšges pour se soigner ne pouvait ĂȘtre qu'ĂȘtre avoir mangĂ©, le Serpentard, une pomme Ă la main, se dirigea donc vers sa destination. Bien Ă©videmment, pour ne voulant pas paraĂźtre rĂ©ellement intĂ©ressĂ© par ce genre de magie, il ne se pressa pas vraiment. En rĂ©alitĂ©, il craignait surtout la rĂ©action de son pĂšre quand il apprendrait qu'il avait pris cette option, et surtout, sa rĂ©action s'il osait montrer un quelconque intĂ©rĂȘt Ă cette arrivant dans la classe, il eut un temps d'arrĂȘt, contemplant le tas de muscle qui se trouvait dans la salle, et qui devait ĂȘtre son professeur. Il avait dĂ©jĂ entendu le nom du personnage et en avait dĂ©duis qu'il Ă©tait lui aussi un Russe... Il espĂ©rait d'ailleurs qu'il ne connaissait pas son pĂšre, sinon il serait bon pour surveiller ses arriĂšres toute l'annĂ©e scolaire. Enfin, sortant de sa rĂȘverie, qui ne prit qu'une demi-seconde en rĂ©alitĂ©, il entra dans la Bonjour Professeur Mkrovsk, dit-il alors, sans le moindre accrochage sur le jeune homme balaya finalement la piĂšce du regard, il n'y avait pas grand monde qu'il connaissait. Finalement, continuant de manger sa pomme, il partit s'asseoir Ă la table derriĂšre celle d'Izsa, qu'il avait dĂ©jĂ rencontrĂ©, et d'une Gryffondor Lilith qu'il ne connaissait pas. Il les salua d'une voix qu'il voulait totalement dĂ©tachĂ© de la rĂ©alitĂ©. Il sortit alors une plume, de l'encre et plusieurs il fut enfin prĂȘt, il observa le mĂ©dicomage. C'Ă©tait un homme qui avait l'apparence d'une brute. Bien qu'il ne le montre pas une seule fois, gardant une attitude dĂ©tachĂ©e, il se demanda si cet homme n'allait pas les torturer... il n'y tenait pas vraiment, ayant dĂ©jĂ son paternel pour lui faire subir ce genre de choses... Enfin, il ne tenait pas Ă ce que son professeur le torture lui. Il dĂ©tourna finalement les yeux de l'autre russe et son regard se posa sur le Bases sur les blessures de Sang-Pur eut un sourire en coin, purement et simplement contrĂŽlĂ©. Il avait le rĂŽle du rejeton Koenig Ă jouer en public, hautain, dĂ©tachĂ©, qui aime le sang... Bref. Tout ça pour que son pĂšre ne le corrige pas. Son sourire pouvait ĂȘtre traduit par une chose "il va sĂ»rement y avoir pas mal de sang et des tortures au vu de la tronche de lâarmoire Ă glace, c'est cool". Bien, qu'en rĂ©alitĂ©, il ne le pensait pas du tout. Il reporta finalement son attention sur sa pomme dĂ©laissĂ©, et dĂ©cida de la manger avant que le cour ne Ă©dition par Levine Koenig le Lun 27 Oct - 1650, Ă©ditĂ© 1 fois InvitĂ© Re Cours n°1 Blessures physiquesInvitĂ©, le Lun 27 Oct - 1007 âJeune homme Ă la peau blanche maculĂ©e de tĂąches rouges, je ne veux en aucun cas te tuer. Je veux juste voir la rĂ©sistance de ton corps.âLa lame entaille dĂ©sormais ton bras. Quelle taille de coupure prĂ©fĂšres-tu ? Doit-elle ĂȘtre grande, ou profonde ? As-tu mal ? Il est amusant de voir ces larmes coulaient le long de ton visage, serait-ce donc lĂ ta rĂ©action face Ă la douleur ? Je continue donc, en passant par ton dĂ©licieux ventre. Une peau d'une telle blancheur, les entailles ne la rendront que plus belles. Laisse-toi faire petit cobaye. Ne trouves-tu pas le rouge magnifique ? Une couleur si vive, je frĂ©mis face Ă cette vue. Ne crie pas, ne hurle pas, tu n'es pas encore proche de la mort. J'aurai tellement voulu que tu me contes ta rencontre avec cette derniĂšre, mais il faut croire que cela restera un secret Ă jamais. Essayons quelques Ă©chantillons prĂ©parĂ©s. Je ne sais leurs effets, sois un bon pantin et raconte-moi ce que tu ressens, d'accord ? Ta voix n'est que murmure, mais je t'entends, alors parle ! Froid ? Je crois avoir compris en regardant ton corps trembler. Tiens, tu sembles rejeter une quantitĂ© importante de sang. Mon cher cobaye, tu as la chance de frĂŽler la Mort, souris ! Quoiqu'il en soit, il me faut te soigner. âJ'avais oubliĂ©, je n'ai pas les capacitĂ© de te soigner. Quel dommage n'est-ce pas ? Bon voyage.âAprĂšs une promenade pour le moins plaisante Ă l'extĂ©rieur du chĂąteau, je marche calmement vers la salle de cours. La MĂ©dicomagie, nouvelle matiĂšre en cette annĂ©e, Ă©tait attendue avec impatience. Elle pouvait ĂȘtre considĂ©rĂ©e comme solution Ă divers problĂšmes. PrĂ©sente sur le pas de la porte, j'entre sans mĂȘme porter un quelconque intĂ©rĂȘt aux Ă©lĂšves prĂ©sents. Mon regard dĂ©rive directement vers notre soi-disant professeur. Outre sa masse corporelle qui fait penser Ă une grosse brute, son physique faisait penser Ă quelqu'un qui faisait son travail plus au moins correctement. Son prestance, par contre, restait imposante. Un signe de la tĂȘte en signe de salut envers cet homme et j'allai m'asseoir au fond de la salle, attendant le dĂ©but du cours. J'observai quelques secondes le tableau pour voir le contenu de cette heure et Ă©mit un soupir satisfait. C'Ă©tait parfaitement ce qu'il me Ă©dition par Linaewen Dementia le Mer 29 Oct - 007, Ă©ditĂ© 1 fois Re Cours n°1 Blessures physiquesContenu sponsorisĂ©, le Permission de ce forumVous pouvez Vous ne pouvez pas rĂ©pondre aux sujets dans ce forum
.